Le cabinet Hays a mené une étude sur les attentes professionnelles de cette génération Y bourrée de talents mais encore incomprise sur le marché du travail. Pourtant, cette génération se différencie nettement des précédentes et pourrait bien amener son lot de révolutions dans les Ressources Humaines.
La rémunération n’est pas le critère prioritaire
Lorsqu’on demande aux membres de cette génération Y leurs principales motivations professionnelles, il ressort que l’intérêt du travail est le principal critère de motivation (60%), loin devant la sécurité de l’emploi (47%), la rémunération (40%) ou l’acquisition de compétences (38%).
De même, lorsqu’on demande à cette génération Y quels sont les éléments qui sont susceptibles d’augmenter leur satisfaction au travail, le fait de se sentir valorisé arrive en tête (50%) devant l’intérêt et la diversité des missions proposées. La rémunération n’arrive qu’un 3e position avec 40% des réponses.
Le manager idéal
Lorsqu’on les interroge sur leur manager idéal, les membres de la génération Y indiquent rechercher un mentor et un leader. Le patron “à l’ancienne” qui distribue les tâches et attend un résultat en retour n’a plus la côte. A noter que 16% des interrogés affirment rechercher dans leur manager idéal un ami.